• ...une semaine de bouffe savoyarde intensive ! Ca revient à un meurtre par calories interposées - tout le monde a voulu ma peau... Déjà, rien que les deux raclettes rebelaisiennes, gasp... Allez, une pensée émue, pour ce moment plus qu'agréable passé tous ensemble à Chambéry samedi soir - une autre pour la rentrée qui nous attend demain, face aux gnomes (sauf peut-être pour Marie-Laure, j'ignore si ses vacances sont alignées sur la métropole), good luck tout le monde !

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  • Je savais depuis à peu près deux semaines que cela me pendait au nez ; confirmation ce matin. Ah les rosses, pile le jour de la Saint Valentin. Trois lettres : MCS. Mesure de Carte Scolaire, mon poste est supprimé l'année prochaine - merci les restrictions budgétaires, ratio temps/élève et autres baisses démographiques. Bon, m'en fous, les vacances arrivent, c'est surtout cela qui compte à mes yeux. Aux Savoyards : bande de crevures; z'êtes déjà en vacances, faignasses que vous êtes ! Aux autres : courage, ça vient bon, bientôt la quille. A tous : Joyeuse Saint Valentin, du bonheur à foison pour les Valentins et Valentines de tous côtés. Au cabinet ministériel : 'tendez un peu que j'apprenne à confectionner des bombes artisanales... Merci de supprimer les groupes de soutien, z'êtes trop forts les gars.

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  • Coucou les gens,


    Tout comme Céline, retour en Savoie pour ma part avec un bon marathon de fin d'année avec mes collégiens picards. Usants les p'tits ! Mais bon, on était bien pareils à l'époque...


    En revanche, pour le 3 Janvier : je suis totalement partant, autant dire aue j'ai hâte de retrouver les "vieilles têtes" autour d'un bon repas, tiens. A d'ici quelques jours, dans ce cas !


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  • Coucou tout le monde,

    Allons courage, plus qu'une semaine avant cette chère Toussaint, c'est bientôt bon... Comment ça, je suis pressé ? Bé, c'est qu'ils deviennent usants mes chers collégiens, par moments.

    J'ai enfin réussi à prendre le rythme, le passage ville/lycée vers campagne/rural m'aura pris un peu de temps. Un poste fixe, mais sur deux établissements, et quatre heures supp', on va dire que c'est déjà pas si mal pour un début.

    M'enfin, heureusement que l'on carbure au vin d'Alsace et à la meilleure bouffe scolaire possible - faut bien que le métier ait des avantages, également.

    Dites, question : les gendarmes passent nous rendre visite ce vendredi, pour une action anti-violence... Vous pensez qu'ils pourraient embarquer quelques zigotos au passage, si on le demande poliment, hein ???

    Plein d'bisous de la Picardie - alias la région que personne ne connaît (mais on a Kamini !).

    Guillaume.

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  • Avec, en prime, quelques nouvelles du front picard.

    L'actualité du nord du pays est franchement bonne, puisque après m'être ennuyé comme un rat mort lors des surveillances des écrits du bac, les choses commencent à s'accélerer, les vacances à approcher. Il ne me reste plus qu'à terminer cette année avec les oraux du bac (déjà deux journées sur trois d'effectuées), ce qui est nettement plus stimulant que les écrits.

    Plus stimulants encore, les résultats des mutations, avec un poste fixe - ce qui n'est pas si évident dans une aca' où l'on ne compte plus les TZR... Je vais avoir droit à un maximum de verdure : je serai en service partagé sur deux tout petits collèges de campagne, au nord de l'Aisne, ce qui n'est pas pour me déplaire (le niveau culturel est franchement bas, mais les gamins n'ont rien de gremlins). Verdure encore, puisque cela va me permettre d'emménager avec ma chérie cet été - nous ferons chacun une moitié de route, Claire pour Lille, moi pour la frontière des régions Nord/Picardie. Pile entre les deux : un joli patelin entouré de vastes forêts et (soyons bassement matérialistes) aux loyers imbattables (quand on voit les tarifs sur Amiens et Lille...). Là, j'ai de belles images plein la tête.

    Résumons : que du bonheur ! Fabienne et Lionel Vernet, si vous me lisez, merci de m'avoir fait décamper de l'académie de Grenoble il y a un an de cela, ordures que vous êtes, j'ai trouvé le bonheur à l'autre bout du pays.

    Guillaume, heureux comme pas possible (et un peu crevé aussi - le kayak en Belgique, ça use).

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